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A new study suggests that everyone might have a doppelgänger with whom they share genetic similarities. Sometimes, people who look alike but are not related can have similar physical traits and behaviors. For example, Michael Malone and Charlie Chasen, two friends from Atlanta with different family backgrounds, are often mistaken for each other. Researchers in Spain studied 32 pairs of look-alikes and found that those who resembled each other most shared more genetic variants affecting features like the nose and lips. However, other factors like epigenetics and the microbiome, which differ between look-alikes, prevent them from being identical. The study also highlights limitations in facial recognition software, which can misidentify people, especially those of color. Overall, the study suggests that everyone might have a look-alike somewhere in the world, potentially fostering a greater sense of human connection.
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Une nouvelle étude suggère que chacun pourrait avoir un sosie avec lequel il partage des similitudes génétiques. Par exemple, Charlie Chasen et Michael Malone, deux amis d’Atlanta, se ressemblent tellement que les gens les confondent souvent, bien qu’ils n’aient aucun lien de parenté et proviennent de régions du monde différentes. Les chercheurs espagnols ont découvert que les personnes qui se ressemblent mais ne sont pas directement apparentées partagent souvent des variantes génétiques similaires. Ces similitudes génétiques peuvent affecter des traits physiques comme le nez et les lèvres, ainsi que certains comportements et habitudes. L’étude, publiée dans la revue Cell Reports, a impliqué des pairs ayant des sosies et a révélé que ceux ayant des ressemblances marquées partagent davantage de gènes. Cependant, des facteurs comme l’épigénétique et le microbiome expliquent pourquoi ils ne sont pas totalement identiques. Cette recherche pourrait aider à mieux comprendre les propriétés humaines et les caractéristiques de la personnalité. L’étude note aussi les limites des logiciels de reconnaissance faciale, souvent moins précis pour identifier les personnes de couleur, ce qui pose des problèmes pour l’utilisation de cette technologie dans divers domaines.